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Les interventions
La plastie abdominale ou dermolipectomie abdominale
Elle reconstruit la paroi musculaire, la paroi cutan�e, remod�le le pubis parfois tombant, et peut se prolonger en � body lift � recto verso chez les patients tr�s pt�s�s.
Cette intervention doit �tre tr�s contr�l�e, et une stricte pr�vention des phl�bites et des embolies pulmonaires doit �tre effectu�e.
La dur�e op�ratoire est de 2 heures environ, 3 jours d�hospitalisation, 15 jours d�arr�t de travail ou de repos, en fonction de la p�nibilit� de l'activit� professionnelle.
Le port d�une gaine est conseill� pendant 1 � 2 mois. Le r�sultat est visible au bout d'un mois et les cicatrices sont estomp�es au bout de 2 ans.
Cette intervention peut �tre prise en charge par la s�curit� sociale si la peau de l�abdomen recouvre le tiers du pubis.
La chirurgie des seins
En cas de pt�se et hypertrophie des seins, une plastie mammaire r�duisant le volume r�siduel est possible, parfois uniquement pour remonter la poitrine.
Les cicatrices sont dites en � ancre de marine � ou en � T invers� �. Elles sont cach�es dans le sillon, autour de l�ar�ole et descendent verticalement sous l�ar�ole.
Les patientes retrouvent ainsi leur f�minit� avec des seins � qui se tiennent � et peuvent parfois se passer de soutien gorge.
La chirurgie des membres
En cas de pt�se des bras et cuisses, les liftings redonnent un galbe aux membres en pla�ant les cicatrices dans le creux des aisselles ou de l�aine.
S�il y a trop de peau, il est possible de faire descendre la cicatrice verticalement le long des membres.
Ces interventions peuvent aussi, sous r�serve d�une entente pr�alable, faire l�objet d�une �ventuelle prise en charge par la s�curit� sociale.
Ces interventions peuvent �tre dans certains cas regroup�es par deux
Abdomen + seins ; bras + cuisses, ou seins + cuisses etc� afin de reconstruire plus rapidement le corps
Les risques op�ratoires de toutes ces interventions
Risque de l�anesth�sie g�n�rale, � �valuer par le chirurgien et l�anesth�siste. Risque de saignement et d�infection, communs � toutes les interventions chirurgicales. Risque de phl�bite et d�embolie pulmonaire. Risque cicatriciel (les patients fumeurs, diab�tiques, prenant de la cortisone, ou ayant d�j� eu des cicatrices disgracieuses ont davantage de risque de mal cicatriser).